Bien que nous n’ayons pas tester la souris Steelseries Rival 5, pour ceux qui connaissent la marque et leur gamme de produit, sachez que cette SteelSeries Aerox 5 est la descendante de la Rival, même forme, même bouton mais en version ajourée et délestée afin de concurrencer les souris à faible grammage.
Teaser
Caractéristiques Techniques
- Capteur : TrueMove Air de SteelSeries
- Type de capteur : Optique
- CPI: CPI de 100 à 18 000, par incréments de 100
- IPS: 400, sur les surfaces QcK SteelSeries
- Accélération : 40 G
- Fréquence : 1000 Hz/1 ms
- Accélération matérielle : Aucune (accélération matérielle nulle)
- Matériau de la coque arrière : Finition noire mate
- Structure centrale : Plastique ABS
- Forme : Ergonomique, pour droitier
- Style de prise en main : Palme ou « claw »
- Nombre de boutons : 9
- Type de switch : Switchs mécaniques SteelSeries conçus pour résister à 80 millions de clics
- Illumination : 3 zones RVB
- Poids : 66 g
- Longueur : 128,8 mm/5,07 pouces
- Largeur : 62,8 mm/2,47 pouces (à l’avant), 68,2 mm/2,68 pouces (à l’arrière)
- Taille : 26,7 mm/1,05 pouces (à l’avant), 42,10 mm/1,65 pouces (à l’arrière)
- Connexion : 2,4 GHz/Bluetooth 5,0
- Systèmes d’exploitation : Windows, Mac, Xbox et Linux. Port USB requis.
- Logiciels : SteelSeries GG, Windows 8,1 ou version ultérieure, MacOS 10,13 ou version ultérieure
1er impression avec la souris SteelSeries Aerox 5
Belle présentation de la souris sur la boite à dominante orange. On comprends tout de suite à quoi on va avoir à faire, entre les « Best Lightweight Mouse », « Ultralight Multi-Genre Gaming Mouse » etc…
On est donc en présence d’une souris ultra légère, 66 gramme pas plus, très bien équipée avec pas moins de 9 boutons programmables, un capteur optique, du RGB dessous dedans partout, un câble tressé etc…
Mais attention tout cela se paye avec un prix public de 90euro à sa sortie. Pas d’inquiétude elle se trouve assez facilement à bien moins chère maintenant, jusqu’à 39euro lors de l’écriture de ce test.
Confort et prise en main
C’est clairement indiqué sur le site de la marque, la SteelSeries Aerox 5 et faite pour une prise en main type « Palme » ou « Claw ». C’est une souris pour droitier, elle n’est pas symétrique.
Le design de la souris est très proche de celui de la SteelSeries Rival 5. Ce qui change c’est bien sûr la coque perforée qui lui permet d’atteindre les 66 grammes. Une coque agréable au toucher, légèrement granuleuse, on pourrait dire que ça chatouille un peu dans la pomme de la main. Ca reste cependant très agréable et la prise en main est vraiment parfaite, les doigts trouvent leurs places de suite.
Les boutons sont très bien positionnés. Même si celui du coté gauche en haut est un peu dérangeant au début, on s’y fait vite et comme il fonctionne de haut en bas, et non par enfoncement, on ne fait pas l’erreur de l’utiliser alors qu’on cherchait celui juste en dessous.
Toujours coté gauche, le bouton gris le plus avancé n’est pas évident à atteindre. Cela me semble impossible sans bouger la paume de la main.
La molette est classique avec un revêtement à l’image d’un pneu moto pour la pluie. Elle fonctionne avec des crans bien marqués et un clic très efficace. Pas de clic latéraux. On retrouve juste en dessous le boutons de changement de profil ou de dpi.
Les boutons sont équipés de switch mécaniques, c’est un peu bruyant mais très efficace et cela pour de longue heures de jeu.
Le modèle de Aerox 5 que nous testons aujourd’hui est un modèle filaire, équipé d’un classique câble tressé d’une longueur de 1,8m. Il est suffisamment rigide et souple pour ne pas être un problème à l’utilisation.
En dessous, deux énormes patins fabriquée 100 % en PTFE pur, vous assurent une glisse vraiment efficace. La comparaison avec d’autres souris est assez flagrante, même si on se dit que le fait d’être neuve joue aussi sur la glisse. Avec une tel glisse et un poids ridicule vous ne devriez pas avoir de problème pour controller vos mouvements.
Fonctionnalités
En dehors des fonctions classiques d’une souris, des boutons etc… La SteelSeries Aerox 5 propose un éclairage RGB, dont la plus grosse surface est surtout le dessous. Ca semble assez étrange vue que c’est la partie en contact avec le tapis. Ceci dit ça se propage à 360° y compris dans la souris, l’effet est là.
Le reste des fonctionnalités se trouve dans le logiciel SteelSeries Engine, dans lequel on trouve forcément la possibilité de configurer l’éclairage RGB mais surtout la possibilité d’attribuer à chaque bouton une fonction spécifique ainsi que des macros. Macros qu’il sera possible d’enregistrer dans le logiciel. On pourra également y définir 5 mémoires de sensibilité du capteur optique pour en changer d’un clic sur le bouton à coté de la molette.
Et comme c’était déjà le cas avant de le SteelSeries Engine, il est possible de sauvegarder des profils de votre souris et de les associer à un jeu.
Performances
Avec l’electronique de nos jours comment voulez vous prendre une souris en défaut, du moment qu’elle est bien équipée. Et c’est le cas de la SteelSeries Aerox 5 avec un capteur optique pouvant atteindre 18000 dpi, des accélérations de 40g etc… A aucun moment nous avons eu le moindre problèmes.
Ajoutez à cela une glisse sans reproche, un capteur efficace, des switch nets, il n’y à rien à redire sur cette souris. Ce qui fera la différence c’est la prise en main, le revètement, le design et peut-être le câble mais avec un bungee on l’oubliera bien vite. D’ailleurs sachez que le câble est détachable, bien pratique si il faut le changer dans le futur. Cela évitera le rachat d’une souris complète.
Conclusion sur la souris Steelseries Aerox 5
Le poids c’est la caractéristique principale de cette souris avec 66 gramme à la pesée, une electronique sans reproche qui fera d’elle le pronlogement de votre main et pas moins de 9 boutons idéalement positionnés et paramétrables. La SteelSeries Aerox 5 est une souris, propre, bien équipée, très polyvalente, un achat sans risque. Si le fil est un problème pour vous sachez qu’il existe une version sans fil, forcément plus cher.
Les plus :
- Poids
- Qualité de construction
- Efficacité
- Câble détachable
Les moins :
- Electronique recouverte d’un film isolant à la poussière, et donc peu réparable