J+7 depuis la fermeture des portes du salon Geekopolis après le passage de 15 000 personnes. Il va dorénavant falloir attendre une longue année pour que le festival éphémère des cultures de l’imaginaire ouvre à nouveau ses portes.
Cette édition 2014 était riche en nouveautés et conférences passionnantes (200 conférences et ateliers différents, comme la création d’un animé, le financement participatif, être autodidacte en BD, etc). L’ambiance du salon était aussi chaleureuse que l’édition précédente, à ceci près que l’organisation des stands sous forme de ruelles cloisonnées a causé bien des tracas aux visiteurs. En effet, à vouloir recréer l’ambiance de « quartiers geek », les organisateurs ont finalement donné naissance à un magnifique labyrinthe de tissus. Pour preuve, lors de mon premier tour d’inspection je suis carrément passé à côté du quartier de Metropolis.
Enfin bref, quand on est curieux on finit toujours par trouver son chemin et c’est avec délectation que j’ai arpenté les différentes boutiques, stands de créateurs, ateliers de dessinateurs (comme celui des 3 talentueux artistes Manchu, Hubert de Lartigue, Julien Delval qui ont peint une magnifique toile SF mélangeant leurs genres respectifs) et autres animations.
Isabel Doll a réalisé une vidéo retraçant quelques moments marquants.
Mais Geekopolis c’est aussi tout l’univers du Cosplay qui s’exprime. Bien sûr tous les types étaient réunis : manga, jeux vidéo, séries, etc. Le rendu était d’un niveau exceptionnel (notamment le genre Steampunk dont je suis friant). Se promener en croisant tous ces visiteurs habités par leur personnage, c’est comme s’immerger dans un monde parallèle fantastique.
Un petit résumé en vidéo :
J’ai terminé ma visite par l’espace retro de l’association MO5.com qui nous avait concocté un stand sympathique sur le thème des Aliens avec 2 bornes arcade et des console bien rétro de type Atari, N64, Dreamcast, etc.
Au final, j’étais tellement absorbé par ma visite que j’en ai oublié mon reportage photo. Le rendu est donc bien maigre… Une bonne raison pour y retourner l’année prochaine réparer cette boulette.